lundi 14 mai 2012

Texte du 25/09/2007

Du fond des âges, ces cris me bouleversent
Je tremble d’émotion
Et me retrouve transportée dans cet ailleurs
Où le temps n’est plus
Où seuls comptent les battements de cœurs communs
Les battements de cœurs humains…
J’oublie tout
Et pourtant des larmes coulent malgré moi…
Elles m’apaisent
Et leur chaleur rougit mes joues trop pâles.
Je ferme les yeux et voyage
A la vitesse du vent qui souffle dans les ailes
Que la vie m’a soudain offertes.
Je vole au dessus des champs,
Des âges du monde
Grâce au temps aboli.
Ma solitude n’est rien
A côté de l’amour infini
Que je ressens en contemplant la création.
Mes larmes coulent si sereines et,
Dans un grand sourire,
Je me dissous dans l’air
Offrant au monde mon cœur débordant d’amour.

25/09/2007

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire