lundi 14 mai 2012

Texte du 08/04/2008

Les heures coulent et la nuit passe
Mais malgré tout, je ne dors pas.
Devant mes yeux, les images s’amassent
Et ces voix, ces visages qui sont toujours là.
Je revois ton corps, ta peau, tes mains
Les étreintes qui furent les nôtres…
Je sais que nous n’avons plus de demain
Que notre avenir, c’est l’un sans l’autre.
Mais je te garde dans mon cœur
Caché au fond comme un secret.
Je n’ai plus vraiment de douleur
C’est comme à tout, je m’y suis fait.
Ton nom a posé son empreinte
Sur ma vie il y a longtemps,
Mais que notre histoire se soit éteinte
N’enlève rien à mes sentiments.

08/04/2008

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