jeudi 2 août 2012

Texte du 01/08/2012

Je le crains tant
Mon pauvre cœur
Encore si marqué, si effrayé
Mais qui ne cesse de vouloir, de croire, d’espérer…
Un tendre regard, un mot caresse
Et le voilà qui tremble d’émotions,
Qui lutte pour s’ouvrir, pour guérir…
Et puis la peur le terrasse…
Cette peur paralysante
Celle que la violence des maux de l’amour
Ne l’achève…
Ton souvenir jaillit de ma mémoire
Et avec lui, la tristesse immense
De t’avoir regardé partir
Les larmes dans les yeux
L’âme suppliante
Le cœur brisé…

Depuis toi,
Il ne peut plus…
Depuis toi,
Il ne croit plus…
Depuis toi
Je ne vis plus.

01/08/2012

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