jeudi 17 mai 2012

Acrostiches


Nuit immense…
Irruption violente de la douleur…
Chaque minute qui passe
Oblige mon cœur à accepter
L’inacceptable… Tu nous abandonnes…
Ange de mes ténèbres,
Souris-moi, tu m’enlaces dans ton chaos.

18/06/2010

Ne nous perds pas… t’ai-je supplié…
Il est de ces douleurs qui nous enveloppent si étroitement
Chaque inspiration est angoissante
Oppressante puisque nous ne partageons plus le même air
Le monde continue de tourner, l’insolent !
Alors que mon cœur s’est brisé et que mon âme se meurt
Sous les assauts répétés de mes maux…

19/06/2010

Ne pas craquer… essayer de ne plus pleurer…
Ignorer ce trou immense qu’il a laissé dans ma poitrine
Cœur insolent ! Comment peux-tu encore ressentir tant d’amour ?
Oublie ! Oublie ! Je te l’ordonne !
Laisse s’écouler le sang de mes plaies… que ma douleur et mon amour s’éteignent
Arrête de t’obstiner ! Il est parti ! Parti entends-tu ?
Salue et accueille la nuit qui t’enveloppe, c’est elle ton éternelle compagne.

29/06/2010


Jamais plus tu ne pleureras
Et tu apprendras à sourire et
A regarder la vie sereinement
Non ce ne sera pas facile

Mais je sais que tu en es capable
Il y a quelque chose dans ton regard de
Calme et de doux et l’
Homme que tu construis aujourd’hui
Est vraiment quelqu’un de bien
Les jours et les nuits à pleurer

Seront bientôt loin
Il y a un amour de la vie en toi
Gâcher cela serait inutile
L’affection que l’on te porte
Est basée sur tes qualités, ne
Rougis pas et souris.

14/11/2006

Fallait pas que la vie s’
Acharne contre toi qui ne le mérite pas
Rassure-toi, le vent tourne
Il existe des bonheurs qui
Dans l’avenir te seront
Accordés parce que c’est toi.

Là où tu te trouveras, souviens-toi
Encore longtemps de nous pour qui tu es
Chère, tu mérites d’être
Heureuse et d’avancer, tu as un
Enfant qui t’aime, tes douleurs d’
Hier te rendront plus forte
Et tu souriras d’être envie
Bien et épanouie. Vis !

14/11/2006

Bouleversée par tes yeux
Émerveillés de nous et
Nimbés de douceur
Je me surprends à sourire
A l’aube de ce jour
Magnifiquement ensoleillé
Irisé par le soleil rougeoyant, jour
Nouveau que l’on contemple ensemble.

Bienvenu à toi, doux soleil
Aux rayons si chaleureux !
Un ange passe
Dans les nuages, au-dessus de notre
Couche où nous nous éveillons…
Ha ! Je me sens vivre
Ouvre les yeux mon amour
Nous touchant le bonheur.

11/11/2006


Pourquoi t’acharner sur mon cœur ?
Hais-tu ce que nous avons été ?
Il est toujours difficile d’effacer les douleurs
Le temps les apaise sans les supprimer
Immobile la nuit lorsque je pense à toi
Perlent mes larmes de mes yeux clos
Peut-être que mon cœur encore malgré moi
Espère ton retour et souffre par mes sanglots…

Pourquoi venir me parler si tu mens
Riant de moi parce que je te fais confiance
A bout de larmes et de déceptions
Tu as réussi… mon cœur est mort…

2004


Jusqu’alors le ciel était assombri
Et les étoiles se voilaient la nuit
A l’aube, les oiseaux s’étaient tu
Nul rayon de soleil n’asséchait la rosée

Dans le pays où l’on cultive les cailloux
Au milieu de l’été, tu es arrivé parmi nous
Nul aujourd’hui ne peut dire qu’il a gardé sa vie
Inchangée après t’avoir connu, car
Être auprès de toi et t’entendre, c’est t’aimer…
Les jours en sont transformés

Les sourires à nouveau éveillés
Et le ciel s’est éclairci
Par ta gentillesse et ton affection
Aux autres prodiguées sans question
Garde ton cœur ainsi, et sache mon ami
Écouter les chants des oiseaux recouvrés aujourd’hui.

Pour JD
05/05/2004


Yin et yang, blanc et noir, opposés,
Antagonistes, mais indissociables… 
Noués l’un à l’autre, ils sont inséparables
Noyés l'un sans l'autre, perdus et isolés...

Surpris tous deux que l'on en vienne à
Unir nos vies par cette belle amitié
Riant de nos chamailleries,
On en connaît néanmoins la valeur;..
Ta valeur est similaire : immense.

2003 

Y-a-t-il dans ce lieu sombre
Amour et tendresse ?
Nul n’oserait y croire car
Nul ne te voit…

A Yann
Janvier 1998.

Sous une nuit d’étoiles
Ange de l’amour
Immortel
Nul ne se doutait
Tu es venu

Voler mon cœur
Avec un seul regard
Loin de moi
Et toujours là
Ni le vent, ni le
Temps qui passe
Importera le doute ou la
Nuit dans mon cœur.

A M.
14/02/1997


Mon
Amour
Reste
Immortellement
Enfoui.






La tristesse d’un cœur
A meurtri le passé
Rectifiant l’idée du bonheur
Mais gardant la force d’aimer
En pleurant, j’aurais souhaité clamer
Souffrance, tu m’as tuée !

Novembre 1996


 



2 commentaires:

  1. Aimer, est-ce souffrir ?Alors beaucoup en souffre.
    Très jolis textes, bien que ça soit très personnel et ça date.
    Courage pour aujourd'hui, ne perds pas espoir !

    RépondreSupprimer
  2. De beaux acrostiches que, ma foi, je serais bien incapable d'imiter, malgré le fait que j'ai à peu près l'âge que tu avais à l'époque ^^
    Cela prouve si besoin était que l'écriture est un talent réservé à certaines personnes dont tu fais sans aucun doute partie ;)

    RépondreSupprimer