Nuit
immense…
Irruption
violente de la douleur…
Chaque
minute qui passe
Oblige mon
cœur à accepter
L’inacceptable…
Tu nous abandonnes…
Ange de mes
ténèbres,
Souris-moi,
tu m’enlaces dans ton chaos.
18/06/2010
Ne nous
perds pas… t’ai-je supplié…
Il est de
ces douleurs qui nous enveloppent si étroitement
Chaque
inspiration est angoissante
Oppressante
puisque nous ne partageons plus le même air
Le monde
continue de tourner, l’insolent !
Alors que
mon cœur s’est brisé et que mon âme se meurt
Sous les
assauts répétés de mes maux…
19/06/2010
Ne pas
craquer… essayer de ne plus pleurer…
Ignorer ce
trou immense qu’il a laissé dans ma poitrine
Cœur
insolent ! Comment peux-tu encore ressentir tant d’amour ?
Oublie !
Oublie ! Je te l’ordonne !
Laisse
s’écouler le sang de mes plaies… que ma douleur et mon amour s’éteignent
Arrête de
t’obstiner ! Il est parti ! Parti entends-tu ?
Salue et
accueille la nuit qui t’enveloppe, c’est elle ton éternelle compagne.
29/06/2010
Jamais plus
tu ne pleureras
Et tu
apprendras à sourire et
A regarder
la vie sereinement
Non ce ne
sera pas facile
Mais je
sais que tu en es capable
Il y a
quelque chose dans ton regard de
Calme et de
doux et l’
Homme que
tu construis aujourd’hui
Est vraiment
quelqu’un de bien
Les jours
et les nuits à pleurer
Seront
bientôt loin
Il y a un
amour de la vie en toi
Gâcher cela
serait inutile
L’affection
que l’on te porte
Est basée
sur tes qualités, ne
Rougis pas
et souris.
14/11/2006
Fallait pas
que la vie s’
Acharne
contre toi qui ne le mérite pas
Rassure-toi,
le vent tourne
Il existe
des bonheurs qui
Dans
l’avenir te seront
Accordés
parce que c’est toi.
Là où tu te
trouveras, souviens-toi
Encore
longtemps de nous pour qui tu es
Chère, tu
mérites d’être
Heureuse et
d’avancer, tu as un
Enfant qui
t’aime, tes douleurs d’
Hier te
rendront plus forte
Et tu
souriras d’être envie
Bien et
épanouie. Vis !
14/11/2006
Bouleversée
par tes yeux
Émerveillés de nous et
Nimbés de
douceur
Je me
surprends à sourire
A l’aube de
ce jour
Magnifiquement
ensoleillé
Irisé par
le soleil rougeoyant, jour
Nouveau que
l’on contemple ensemble.
Bienvenu à
toi, doux soleil
Aux rayons
si chaleureux !
Un ange
passe
Dans les
nuages, au-dessus de notre
Couche où
nous nous éveillons…
Ha !
Je me sens vivre
Ouvre les
yeux mon amour
Nous
touchant le bonheur.
11/11/2006
Pourquoi
t’acharner sur mon cœur ?
Hais-tu ce
que nous avons été ?
Il est
toujours difficile d’effacer les douleurs
Le temps
les apaise sans les supprimer
Immobile la
nuit lorsque je pense à toi
Perlent mes
larmes de mes yeux clos
Peut-être
que mon cœur encore malgré moi
Espère ton
retour et souffre par mes sanglots…
Pourquoi
venir me parler si tu mens
Riant de
moi parce que je te fais confiance
A bout de
larmes et de déceptions
Tu as
réussi… mon cœur est mort…
2004
Yin et yang, blanc et noir, opposés,
Antagonistes, mais indissociables…
Noués l’un à l’autre, ils sont inséparables
Noyés l'un sans l'autre, perdus et isolés...
Surpris tous deux que l'on en vienne à
Unir nos vies par cette belle amitié
Riant de nos chamailleries,
On en connaît néanmoins la valeur;..
Ta valeur est similaire : immense.
2003
Y-a-t-il dans ce lieu sombre
Amour et tendresse ?
Nul n’oserait y croire car
Nul ne te voit…
A Yann
Janvier 1998.
Sous une nuit d’étoiles
Ange de l’amour
Immortel
Nul ne se doutait
Tu es venu
Voler mon cœur
Avec un seul regard
Loin de moi
Et toujours là
Ni le vent, ni le
Temps qui passe
Importera le doute ou la
Nuit dans mon cœur.
A M.
14/02/1997
Mon
Amour
Reste
Immortellement
Enfoui.
La tristesse d’un cœur
A meurtri le passé
Rectifiant l’idée du bonheur
Mais gardant la force d’aimer
En pleurant, j’aurais souhaité clamer
Souffrance, tu m’as tuée !
Novembre 1996
Jusqu’alors
le ciel était assombri
Et les
étoiles se voilaient la nuit
A l’aube,
les oiseaux s’étaient tu
Nul rayon
de soleil n’asséchait la rosée
Dans le
pays où l’on cultive les cailloux
Au milieu
de l’été, tu es arrivé parmi nous
Nul
aujourd’hui ne peut dire qu’il a gardé sa vie
Inchangée
après t’avoir connu, car
Être auprès
de toi et t’entendre, c’est t’aimer…
Les jours
en sont transformés
Les
sourires à nouveau éveillés
Et le ciel
s’est éclairci
Par ta
gentillesse et ton affection
Aux autres
prodiguées sans question
Garde ton
cœur ainsi, et sache mon ami
Écouter les
chants des oiseaux recouvrés aujourd’hui.
Pour JD
05/05/2004
Yin et yang, blanc et noir, opposés,
Antagonistes, mais indissociables…
Noués l’un à l’autre, ils sont inséparables
Noyés l'un sans l'autre, perdus et isolés...
Surpris tous deux que l'on en vienne à
Unir nos vies par cette belle amitié
Riant de nos chamailleries,
On en connaît néanmoins la valeur;..
Ta valeur est similaire : immense.
2003
Y-a-t-il dans ce lieu sombre
Amour et tendresse ?
Nul n’oserait y croire car
Nul ne te voit…
A Yann
Janvier 1998.
Sous une nuit d’étoiles
Ange de l’amour
Immortel
Nul ne se doutait
Tu es venu
Voler mon cœur
Avec un seul regard
Loin de moi
Et toujours là
Ni le vent, ni le
Temps qui passe
Importera le doute ou la
Nuit dans mon cœur.
A M.
14/02/1997
Mon
Amour
Reste
Immortellement
Enfoui.
La tristesse d’un cœur
A meurtri le passé
Rectifiant l’idée du bonheur
Mais gardant la force d’aimer
En pleurant, j’aurais souhaité clamer
Souffrance, tu m’as tuée !
Novembre 1996
Aimer, est-ce souffrir ?Alors beaucoup en souffre.
RépondreSupprimerTrès jolis textes, bien que ça soit très personnel et ça date.
Courage pour aujourd'hui, ne perds pas espoir !
De beaux acrostiches que, ma foi, je serais bien incapable d'imiter, malgré le fait que j'ai à peu près l'âge que tu avais à l'époque ^^
RépondreSupprimerCela prouve si besoin était que l'écriture est un talent réservé à certaines personnes dont tu fais sans aucun doute partie ;)