mardi 15 mai 2012

Texte du 01/02/1998


Otage de mon amour
Et prisonnier de mes jours,
Esclave insouciant
Des douloureux sentiments.
Si tu savais à quel point
Le battement d’un cœur
Peut paraître loin
Et sourd de douleur.
Je t’aime et je t’attends
Patiemment, passivement.
J’ai peur de ce que je suis
Tu bouleverses trop ma vie,
Oserais-je aller vers toi
Et t’avouer un jour
Que tu es pour moi
Mon ange, mon amour ?

A Y.
01/02/1998

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