Mon cœur se meurt peu à peu
Lassé de ne pas aimer
Blessé d’avoir trop saigné.
Pourtant ma flamme de bonheur
Ne s’est pas totalement éteinte
Et je rêve à de nouvelles étreintes.
J’aimerais ressentir à nouveau
La passion de ce sentiment
Qui a tant brûlé auparavant.
Et pouvoir enfin clamer
Que rien n’est plus beau que d’aimer
Même si l’on doit pour cela pleurer.
Décembre 1996.
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