Où que j’aille, j’ai peur et j’ai mal
Où que j’aille, je regarde la vie coulée
Et je reste immobile.
Où que j’aille, mes yeux se ferment
Pour chercher un apaisement.
Où que j’aille, je tremble d’effroi
Devant mon existence.
Et ce cœur qui bat…
Mon propre cœur qui, malgré moi,
Ne résonne plus que dans ce lourd silence…
Car où que j’aille, je suis autre
Etrangère à ce monde où je voudrais me promener
Avec le sourire, sereine et confiante…
Mais je me heurte à mes murs
Si solides et si hauts
Je ne peux avancer.
Où que j’aille, je suis perdue
Et j’erre absente à ce monde
Et à ma vie.
23/04/2003
Dans ce texte, je ressens de la difficulté à vivre dans ce monde. Je comprend cela, le XIXème siècle et le XXIème sont tellement différents qu'il est difficile d'y vivre pour celui qui vient d'un monde lointain.
RépondreSupprimerEspère et prend courage !
Elrandre.