lundi 14 mai 2012

Texte du 05/03/2003

Âme sœur qui bat mon cœur
Mon âme a peur, pleure de frayeur
Tombe la douleur, avec les coups

La tête s’abaisse, le corps s’affaisse
Sans rébellion, là sa faiblesse
Et coulent les larmes sur mes genoux

Recroquevillée telle une enfant
Les mains tremblantes, j’attends
Une pause, non ? des remords ?

Et blessée, l’esprit égaré
Je regarde mon sang couler
Et fuir ma vie… Je m’endors…

05/03/2003

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